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Lettre d'information du mois de novembre 2018

INRS – Lettre d’information du mois de novembre 2018

INRS – Lettre d’information du mois de novembre 2018

Sujets traités :

DOSSIER : ZOOM SUR LA CHAINE LOGISTIQUE
  • Dossier Travail et Sécurité : La Chaîne logistique
  • Journée Technique INRS : Transports routiers de marchandises et logistique
  • Publication : Une chaîne d’entreprises du fournisseur au client : enjeux et approches pour la prévention
EN QUESTION : A QUOI SERT LE PERMIS DE  FEU ?

Les petites étincelles peuvent causer de grandes catastrophes. Les travaux par points chauds représentent 30 % des origines d’un incendie dans l’entreprise. Il est donc essentiel de les maîtriser. Afin d’apporter une aide à la gestion de ce type d’intervention, ce document regroupe les mesures de prévention à mettre en place ainsi qu’un exemple de permis de feu.

  • Démarche et document support :
    • Pour accéder au texte intégral et pour télécharger le permis de feu interactif cliquer ici
LOMBALGIES : PARLONS – EN !

Quatre actifs sur cinq déclarent avoir déjà eu des problèmes de dos. Une lombalgie sur cinq entraîne un arrêt de travail et 30 % des arrêts de plus de 6 mois sont liés à une lombalgie. À l’occasion du salon Expoprotection, les branches assurance maladie et risques professionnels de la Sécurité sociale ont lancé une nouvelle campagne de prévention visant les entreprises. Baptisée « Employeurs : faites du bien à votre entreprise, agissez contre le mal de dos », elle vise la prévention des lombalgies au travail et le maintien dans l’emploi
des salariés concernés. La campagne est assortie d’un kit de communication : brochure, fiches spécifiques aux secteurs les plus touchés, affiches …

OUVRIERS : INTERIMAIRES ET SALARIES INEGAUX DEVANT L’EXPOSITION AU RISQUES PROFESSIONNELS 

En France, 80 % des intérimaires sont des ouvriers. D’après une étude de la Dares, ces travailleurs sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail. Ils sont 22 % à manipuler des charges lourdes plus de 20 heures par semaine contre 12 % pour l’ensemble des ouvriers. Cet écart s’expliquerait notamment par les métiers qu’ils exercent, notamment dans la construction et la logistique. Par ailleurs, 23 % des ouvriers intérimaires déclarent que leur rythme de travail est déterminé par le déplacement automatique d’un produit et 25 % par la cadence d’une machine contre respectivement 11 % et 12 % pour l’ensemble des ouvriers.

Consulter l’étude dans son intégralité dans la lettre d’information.

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